Chers amis,

« Depuis juillet c’est l’enfer, les consultations pour effets secondaires des injections anti-Covid explosent ! »

C’est la naturopathe Anne Portier qui me disait ça il y a quelques jours au téléphone.

Cette « explosion » n’est pas isolée à la Drôme, où Anne Portier a son cabinet. Elle touche toute la France, et dans des proportions qui sont officiellement préoccupantes…

… sauf qu’aucun grand média ne relaie ces chiffres.

Rapports glaçants de l’Agence nationale de sécurité du médicament

L’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) a pour mission, en France, de veiller aux « remontées » des effets secondaires des produits pharmaceutiques.

On appelle cela la pharmacovigilance.

Depuis le tout début de la campagne de vaccination (fin décembre 2020) c’est cette Agence officielle qui récolte et analyse les effets secondaires liés aux injections anti-Covid.

Elle publie son rapport[1] tous les quinze jours :

Le résultat est glaçant :

  • Près de 3000 nouveaux cas sont répertoriés chaque semaine ;
  • nous approchons des 100 000 cas répertoriés en 9 mois…
  • dont 25%, soit un quart, sont graves

Trois quarts des victimes sont des femmes

Chaque rapport bihebdomadaire fait une vingtaine de pages et détaille ces statistiques :

  • selon les marques de vaccin utilisées (5 à ce jour) ;
  • selon le sexe des victimes ;
  • selon l’âge des victimes ;
  • selon le type d’effet secondaire qui se produit.

Ainsi, le vaccin qui a fait le plus de « victimes » est celui de Pfizer/BioNTech avec plus de 50 000 cas à la mi-septembre (mais c’est celui le plus utilisé, c’est donc logique) ; 27% sont des cas graves.

Celui qui a la plus importante proportion d’effets secondaires graves est celui de Janssen : près de 40%.

Globalement, les femmes sont plus touchées par ces effets secondaires que les hommes.

Voici la « répartition » pour le vaccin de Pfizer/BioNTech :

Outre le nombre de patients concernés, le plus inquiétant reste peut-être la palette de ces effets secondaires.

Pancréatite aiguë, Polyarthrite rhumatoïde, surdité, amnésie…

Certains effets secondaires sont revenus tellement de fois qu’ils font officiellement partie des effets secondaires « confirmés » de ces injections :

  • les thromboses (tous) ;
  • l’hypertension artérielle (tous) ;
  • les fausses couches (tous) ;
  • les syndromes pseudo-grippaux (pour l’AstraZeneca) ;
  • le syndrome de Guillain-Barré (pour le Janssen).

D’autres « effets secondaires » ont été répertoriés et font partie d’une surveillance particulière.

La liste est longue, mais cela concerne, pour le Pfizer (liste non exhaustive) : Zona, troubles du rythme cardiaque, pancréatite aigüe, polyarthrite rhumatoïde, troubles menstruels, syndrome inflammatoire multi-systémique.

Pour le Moderna : déséquilibre, amnésie transitoire, troubles auditifs (surdité, hypoacousie et acouphènes), pertes de connaissances, plus ou moins associées à des chutes, saignements cutanéo-muqueux, érythème polymorphe.

Pour l’AstraZeneca : élévation de la pression artérielle, paralysie faciale, colite ischémique, vascularites, surdité/baisse de l’audition, pancréatites.

La mauvaise, la très mauvaise, et la bonne nouvelle

La mauvaise nouvelle, c’est que les chiffres de ces rapports sont très probablement sous-évalués.

Le fait que tous ces effets secondaires aient passé la « barrière » officielle de la pharmacovigilance nous renseigne en réalité sur l’ampleur cachée des effets secondaires : j’ai dans mon entourage, et vous aussi sans doute, plusieurs personnes qui ont eu des effets secondaires suite à leurs injections… et soit n’en ont pas parlé à leur médecin, soit ce dernier n’a pas « remonté » l’information à son centre régional de pharmacovigilance.

La très mauvaise nouvelle, c’est que si des effets secondaires apparaissent après quelques jours, ils ne sont pas « crédibles » pour ces agences.

Or beaucoup d’effets secondaires se manifestent après plusieurs semaines, plusieurs mois… voire plusieurs années (il est trop tôt encore pour l’assurer, mais c’est probable).

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de prévenir et de traiter naturellement ces effets secondaires.

J’ai demandé à Anne Portier de nous parler de son expérience et de ses solutions. Nous allons nous rencontrer à l’occasion d’un webinaire la semaine prochaine (ce sera gratuit).

D’ici-là je vous propose de lui poser toutes les questions qui vous préoccupent au sujet des effets secondaires de ces injections, et de témoigner si vous le souhaitez : pour cela, il vous suffit de remplir ce formulaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet