Chers amis,

Le plan se déroule à merveille : le gouvernement avait obtenu le vote du pass sanitaire l’été dernier sur la promesse que celui-ci serait temporaire.

Plus exactement :

  • qu’il ne serait en vigueur que jusqu’au 15 novembre 2021,
  • voire qu’il serait abrogé avant si la situation s’améliorait.

La situation s’améliore.

Mais le pass ne va pas être abrogé : il va être prolongé !

C’est ce que programme le gouvernement, qui a présenté hier en conseil des ministres son projet de loi pour étendre le pass jusqu’au 31 juillet 2022[1].

Êtes-vous surpris ? Moi pas.

Est-ce un scoop ? Pas à mes yeux.

Cette prolongation n’est qu’un pas supplémentaire vers un pass sanitaire permanent.

Nous en entendrons parler dès l’année prochaine. Et sur ce plan, le gouvernement ne tient que les promesses qu’il ne fait pas… mais qui sont limpides pour qui sait lire entre les lignes.

Une fois de plus, c’est par mithridatisation que cette mesure se met en place. Par petites doses, croissantes, de poison.

Les rapports alarmants de l’ANSM et de l’OMS n’y changent hélas rien.

Un million d’effets secondaires en Europe (source : OMS)

Toutes les deux semaines, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) publie son rapport de suivi des effets secondaires et des complications des injections anti-Covid.

À l’heure où je vous parle, nous avons vraisemblablement déjà atteint les 100 000 cas officiels, puisque le dernier rapport mentionne 96 217 cas à la date du 30 septembre[2].  

La proportion de cas graves reste très (trop) haute : 1 cas sur 4.

Chaque nouveau rapport voit la liste des types d’effets secondaires et de complications s’allonger.

Le « nouveau venu », dans le rapport actuellement en ligne, est la survenue de syndromes de Parsonage-Turner (une névralgie paralysante et douloureuse de l’épaule) dont 3 cas sur 4 ne sont pas guéris.

Il s’agit d’une névralgie « de plus » car des névralgies, il y en a beaucoup avec ces injections.

Les chiffres de l’ANSM ne sont cependant que la partie émergée de l’iceberg.

Le doute n’est maintenant plus permis puisque l’Organisation Mondiale de la Santé évoque elle-même le cas de plus d’un million d’effets secondaires en Europe[3].

Nous allons bientôt répondre à vos questions

Mais mon intime conviction de l’ampleur cachée du phénomène me vient de vous.

Vous avez été plus de 4000 à répondre à mon questionnaire sur les effets secondaires des vaccins anti-Covid.

Outre les effets secondaires dont vous avez été victime ou témoin, il y a cette constatation glaçante, qui revient comme un refrain : le refus des médecins de faire remonter ces effets secondaires à la pharmacovigilance (qui sert de base aux rapports de l’ANSM).

J’ai également reçu des témoignages troublants de secrétaires médicaux, de pharmaciens, et de thérapeutes qui m’ont encore plus alerté sur l’ampleur du nombre de cas – et de cas graves et mortels.

Ces témoignages confirment l’expérience des naturopathes de toute la France, chez lesquels le nombre de consultations pour effets secondaires des injections anti-Covid a littéralement explosé.

L’heure n’est plus seulement au sentiment de révolte : ces injections sont devenues un sujet de santé publique prioritaire.

D’autant plus prioritaire qu’il est nié par le pouvoir en place.

Nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Aussi je vous annonce, comme promis, la date à laquelle nous aborderons avec les naturopathes Anne Portier et Laurent Fège les solutions à ces effets secondaires et ces complications : ce sera lundi prochain, 18 octobre, à 20h30.

Portez-vous bien, et tenez bon.

Rodolphe Bacquet